Le football féminin poursuit sa marche forcé vers l’universalisme et pour imposer sa présence sur tous les fronts de la compétition internatonale hommes et femmes compris. L’ultime porte, très importante, celle qui donne l’accès au Graal en quelque sorte, la Coupe du monde masculine, a été enfoncée ce mardi.

Avec la désignation par la Fédération internationale (FIFA)  de la Française Stéphanie Frappart  en tant que quatrième arbitre du match du Mondial qui s’est disputé au Qatar entre  le Mexique et la Pologne (0-0) .

Elle est donc la première femme à inscrire son nom dans le palmarès. Comme elle l’avait déjà  fait – il y a deux ans- dans une autre épreuve, la Ligue  européenne des clubs champions.

A noter  que cinq autres femmes ont été retenues à Doha. Elles  représentent l’Afrique et l’Asie. Dont deux arbitres centrales : la Rwandaise Salima Mukansanga et la Japonaise Yamashita Yoshimi, ainsi que trois assistantes. Et si la FIFA allait plus loin et confiait  à une femme dans les jours qui viennent la direction d’un match de prestige  des huitièmes, quarts ou demi-finales ?

@Méditerranéennes