Mode & Beauté : Bella Hadid rejoint Charlotte Tilbury

Pas de doute, la mannequin Bella Hadid a le vent en poupe.La star palestinienne de la mode  poursuit son ascension en devenant la nouvelle égérie de Charlotte Tilbury, la marque anglaise de cosmétiques. À L’image des icônes Lily James, Kate Moss ou encore Han So Hee.

L’annonce de la grande nouvelle a été faîte par les deux parties via le réseau Instagram, alors que la marque fête son 10e anniversaire.De façon très enthousiaste en rédigeant un post avec de belles majuscules pour marquer les mots forts : «  Darlings  ! Les rumeurs disent vrai ! Je suis TELLEMENT ravie de révéler que le SUPERMODÈLE et l’ICÔNE mondiale de la beauté @BellaHadid rejoint Charlotte Tilbury Beauty (sic). Je suis tellement heureuse que vous soyez ici“.

La suite  du message est à l’avenant: “« Que ce soit à travers la magie des cosmétiques ou de la beauty-tech, Bella est tout aussi déterminée que moi à briser les frontières et à jouer avec les univers réel et virtuel. J’ai hâte de partager avec vous les moments extraordinaires et magiques que nous vous réservons ! »,

Bella Hadid & Charlotte Tilbury

L’horizon se dégage de plus en plus pour Bella Hadid enpasse de devenir, avec l’Algérienne Loli Bahia – l’une des deux mannequins les plus sollicitées par les plus  défilés prestigieux ) mais contrairementà son homologue, Bella a souffert de son origine palestinienne.

En effet, si la native de Washington s’est imposée  comme une des valeurs sûres du monde de la mode – désignée  mannequin de l’année  en 2021 par la profession – elle a affirmé quelques mois plus tard dans un long entretien accordé à  Rep, un podcast qui porte la signature de Nour Tagouri, une journaliste très engagée, que ses origines palestiniennes, dont elle est évidemment fière,lui ont valu bien des déboires et exclusions.

Comment ?   Au point de se voir écartée de certaines manifestations  et contrats?  Pire, elle est traitée de “terroriste” quand elle soutient le pays d’origine de son père qui  vit un enfer depuis des lustres. Ne serait-ce qu’en écrivant le slogan ‘Free Palestine” :« J’ai eu tellement d’entreprises qui ont cessé de travailler avec moi. J’avais des amis qui m’ont complètement abandonnée. Des amis avec qui je dînais chez eux le vendredi soir depuis sept ans et qui désormais ne me laissent plus entrer chez eux. Mais je n’ai pas peur quand il s’agit de ça.”

@Méditerranéenne Magazine

 

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