Littérature-Fayçal Chehat : “Il paraît que la vie fait bien les choses”

 

Le fondateur et rédacteur en chef de Méditerranéennes Magazine, Fayçal CHEHAT,  vient de publier sont dernier livre intitulé “Il paraît que la vie fait bien les choses”. Un recueil de nouvelles et de poèmes disponible depuis le 15 novembre sur la plateforme Amazon.ff en deux versions  : numérique et papier. C’est un premier tome, qui sera suivi, l’auteur l’espère, d’un deuxième à la  fin de l’année 2024, dans le cadre de la nouvelle collection “Petites nouvelles du monde réel”.

Présentation de la collection 

Petites nouvelles du monde réel ” est une respiration, une suite de rencontres, d’observations, d’images “volées” au quotidien. Cette respiration raconte, sans prétention, l’amour, la passion, les douleurs, la beauté et la laideur du genre humain, les révoltes et les lâchetés, les destins contrariés, les hasards heureux. Elle décrit la vie telle qu’elle est, avec ses lumières apaisantes et ses ombres parfois inquiétantes. Les textes que je soumets à ceux qui veulent bien les lire ont été écrits il y a quelques années ou hier seulement. Pas de hiérarchie ni de chronologie. On pourra y picorer comme dans un buffet ouvert à tous les passants”.

L’auteur : Fayçal CHEHAT

 

Extrait de la préface signée Djilali Bencheikh, journaliste et romancier prolifique

On a souvent le blues avec les écrits signés F. C. Il décrit des situations et des êtres auxquels personne n’aurait pensé. Et s’il nous enfonce parfois dans une émotion poignante, il sait aussi captiver son lecteur par des poèmes réjouissants de sensualité :

“Une femme heureuse” /C’est un cerisier altier/ qui au cœur du printemps/laisse ses fruits gorgés de sang s’épanouir sous les branches/souples et fragiles/ tels des seins frémissants de désir/ attendant la caresse /de l’amant impatient “

On retrouve ici le velouté de la plume dont il a bâti son roman ” Celle qui n’aimait pas les hommes”, un opus qui le révèle comme un idolâtre du féminin.

Il persiste et signe avec le poème intitulé “Square de l’imagination ” : Ma princesse du désert « Me frôle Me bouscule. Me nargue Me défie Virevolte M’inonde de son parfum insolent Abeille butineuse. Elle ignore mon nectar Puis La voilà papillon royal. Ailes battantes Me demande de la suivre Sur les chemins détournés Et moi Dévoré Par l’envie puissante de l’aimer Je la suis M’éparpille Trébuche Tombe Me relève Croit la tenir Mais la perd à nouveau Jusqu’à l’épuisement »

 

 

 

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