L’hommage de Paris Match à Sophie Marceau

Celle qui avait entamé sa carrière d’acrice à 13 ans  comme tête  d’affiche  dans un film pour adolescent (e)s intitulé La Boum (1980) de Jean-Claude Pinoteau au succès populaire incroyable n’allait plus lacher la tête de la course pendant près de 40 ans. En dépit d’un tout petit creux de vague  au début des années 2010, la native  de Paris  est plus que jamais La femme est l’artiste préférée des Français et dispose d’une sacrée belle cote à l’international, y compris aux Etats-Unis.

Sophie Marceau et Monica Belluci dans ” Ne te retourne pas” de Marina De Van

Dans ce hors-série du magazine parisien,  la Fiancée de la France  évoque ses meilleurs souvenirs d’actrice, les comédiens et comédiennes avec lesquels(l)es elle aimé joué, les réalisateurs auxqels  elle a été fidèle, les hommes qu’elle a aimés  à l’image de son pygmalion le réalisateur polonais Andrzej Zulawsky, le producteur américain Jim Lemley ou l’acteur hexagonal  Christophe Lambert. Et ses partenaires  parlent d’elle avec enthousiasme à l’image de l’acteur-réalisateur Mel Gibson qui lui donna le rôle féminin principal dans “Braveheart“.

Par aileurs, le magazine a eu la bonne idée de réssusciter  quelques unes des  belles interviews parues dans ses colonnes. Dont l’une, en mai 2009,  réalisée à deux voix, avec son alter eho en beauté et en réputation, Monica Belluci. Les deux égéries française et italienne évoquaient les clichés pris par  la photographe  Emanuelle  Scoccelletti où on les voyait nues dans un corps à corps d’une sensualité inouïe.

L’occasion pour Sophie Marceau de rappeler qu’elle est au fond une grande pudique : ” Dans mon éducation, je n’ai pas eu ce  rapport à la féminité. ma mère a été très présente, elle nous as allaités, elle a été on ne peut plus maternelle, mais être une fille, dans ma famille, état plutôt une source de complications. J’ai évolué dans un monde d’hommes. J’ai découvert ma féminité dans le regard  des autres, quand on m’a dit : ”  Tiens, met ça, c’est plus sexy.” Sinon, moi, je ne portais que des cols roulés”.

@Fayçal CHEHAT

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